Les escales du mois de décembre 2022

Dans la droite ligne de novembre, décembre a été un mois calme, très calme. En tout cas sur le plan des lectures. J’ai également poursuivi ma lecture de mangas, à un très petit rythme.

Par contre, si je fais un très rapide bilan de cette année, je ne peux que me réjouir. J’ai passé plus de temps sur ce blog. Et j’en ai été récompensé par davantage d’échanges avec des lecteurs (voire des auteurices). Enthousiasmant.

Mais avant tout : bonne année à toutes et tous !

Mes lectures du mois

Un roman, deux recueils de nouvelles et deux mangas

Les Galaxiales de Michel Demuth : l’histoire du futur française a tenu ses promesses. Et les nouveaux auteurs qui l’ont complétée ont fait du bon boulot. J’en ai parlé ici.

Providence de John Crossford (Bertrand Passegué) : troisième tome du cycle Second Œkumène. J’en ai parlé ici.

Genocidal Organ 2 de Project Itoh & Gatô Asô : un deuxième tome plus riche, plus dense et plus convaincant. Je signe pour la suite et fin. J’en ai parlé ici.

IA 2042 de Kai-Fu Lee & Chen Qiufan : où en seront les I.A. dans vingt ? Quelles conséquences sur notre existence ? Un bouquin passionnant et à mettre entre toutes les mains. J’en ai parlé ici.

Genocidal Organ 3 de Project Itoh & Gatô Asô : la fin d’une trilogie noire, pas nécessairement innovante, mais assez lucide hélas. J’en ai parlé ici.

La suite ?

Eh bien j’espère retrouver une activité un peu plus dynamique, tant dans les lectures que dans les écritures de billets. Quelques romans à paraître me font très envie. Et certains, qui trainent dans ma P.A.L. (et dans cette rubrique) depuis des semaines me jettent des regards de reproche? Je les comprends. Je ne les fais pas apparaître ici pour ne pas surcharger la page, mais ils sont toujours là, prêts à bondir entre mes mains en période de temps calme.

L‘Aube d’Octavia E. Butler : premier tome de la trilogie Xenogenesis, ce roman permet à Octavia E. Butler de traiter avec brio du thème de la différence et de celui de la collaboration. Je viens de le finir. Impressionnant. Billet à suivre très vite. Vous pouvez aller sur la page de la maison d’édition.

Immobilité de Brian Evenson : cet auteur, dont j’ai découvert le nom avec cette parution, semble posséder une place à part. Ce roman a été une très bonne et forte surprise pour moi. Encore un récit post-apocalyptique, certes, mais un excellent. Vous pouvez aller sur la page de la maison d’édition.

L’Antre de Brian Evenson : Court texte du même auteur. Court roman ou novella, je ne vais pas trancher. Un peu dans le même esprit qu’Immobilité, mais vu d’un autre côté, en quelque sorte. Vous pouvez aller sur la page de la maison d’édition.

Ève et Adam de Laurent Quintreau : un roman français d’un auteur que je ne connaissais pas (encore un). On passe de génération en génération jusqu’à un futur proche (d’où ma lecture). Vous pouvez aller sur la page de la maison d’édition.

Mars Terre – Destins croisés de Philippe Henarejos & Yann Arthus-Bertrand : un superbe ouvrage que j’ai reçu grâce à l’éditeur (Belin) et l’opération Masse critique de Babelio. Un texte très riche, très abordable et de magnifiques photographies. Vous pouvez aller sur la page de la maison d’édition.

L‘impératrice du Sel et de la Fortune de Nghi Vo : prix Hugo 2021 (même si ça ne veut pas dire grand chose pour moi). L’hsitoire semble traitée tout en finesse et ça, j’aime. Vous pouvez aller sur la page de la maison d’édition.

Comme un diamant dans ma mémoire de Guy Gavriel Kay : on ne présente plus cet auteur au fort pouvoir évocateur. Vous pouvez aller sur la page de la maison d’édition.

Morgane Pendragon de Jean-Laurent Del Socorro : une légende revue par un grand auteur. Je demande à voir. Vous pouvez aller sur la page de la maison d’édition.

La schismatrice + de Bruce Sterling : l’autre grand nom du cyberpunk. J’avais lu ce roman voilà bien longtemps. Je préfère Gibson, mais l’univers dépeint par Sterling a quelque chose de fascinant. Vous pouvez aller sur la page de la maison d’édition.

D’autres lectures s’ajouteront ou certaines disparaîtront. Comme d’habitude, en fait.

Et vogue le navire…

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